Présentation
Quel est le nombre total de gynécologues exerçant à Tronchoy ?
D’après nos données, 32 gynécologues
exercent actuellement à Tronchoy et aux alentours.
Quels actes médicaux sont couramment réalisés par les gynécologues à Tronchoy ?
Les actes médicaux les plus réalisés par les gynécologues à Tronchoy sont les suivants :
- Induction de l'ovulation par gonadotrophines suivie d'une insémination artificielle ou d'une fécondation in vitro
- Ablation ou changement d'implant pharmacologique souscutané
- Échographie non morphologique de la grossesse avant 11 semaines d'aménorrhée
- Hystérosonographie
- Prélèvement cervicovaginal
Quelles sont les principaux motifs pour lesquels les patients
consultent un gynécologue à
Tronchoy ?
Les patients consultent un gynécologue à
Tronchoy pour les motifs suivants :
- Infertilité
- Diabète
- Grossesse extra-utérine
- Fibrome
- Infection à levures
Quels sont les problèmes de santé les plus courants pour
lesquels les patients consultent un gynécologue à
Tronchoy ?
Les problèmes de santé les plus courants auquels sont confrontés
les patients chez un gynécologue à Tronchoy sont :
- Dépistage du cancer de l'ovaire
- Vaccination pendant la grossesse
- Infertilité
- Fibromes utérins
- Vaginisme
- Consultations sur les douleurs lors des rapports sexuels
- Conseils sur la santé sexuelle
- Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)
- Gestion des symptômes prémenstruels
- Endométriose
Quelles sont les questions fréquemment posées à un gynécologue à Tronchoy ?
Les questions les plus posées à un gynécologue à Tronchoy sont :
- Quels sont les signes d'une grossesse ectopique ?
- Quels sont les signes d'une hémorragie post-partum ?
- Comment prévenir les infections sexuellement transmissibles (IST) ?
- Comment fonctionnent les stérilisations tubaires ?
- Comment traiter l'endométriose ?
- Comment fonctionnent les implants contraceptifs ?
- Comment traiter l'incontinence urinaire ?
- Quels sont les signes de l'endométriose ?
- Quels sont les signes d'une incontinence urinaire ?
- Comment traite-t-on le SOPK chez les adolescentes ?