Présentation
Quel est le nombre total de gynécologues exerçant à Varouville ?
D’après nos données, 11 gynécologues
exercent actuellement à Varouville et aux alentours.
Quels actes médicaux sont couramment réalisés par les gynécologues à Varouville ?
Les actes médicaux les plus réalisés par les gynécologues à Varouville sont les suivants :
- Induction de l'ovulation par gonadotrophines suivie d'une insémination artificielle ou d'une fécondation in vitro
- Ablation ou changement d'implant pharmacologique souscutané
- Échographie non morphologique de la grossesse avant 11 semaines d'aménorrhée
- Hystérosonographie
- Prélèvement cervicovaginal
Quelles sont les principaux motifs pour lesquels les patients
consultent un gynécologue à
Varouville ?
Les patients consultent un gynécologue à
Varouville pour les motifs suivants :
- Infertilité
- Diabète
- Grossesse extra-utérine
- Fibrome
- Infection à levures
Quels sont les problèmes de santé les plus courants pour
lesquels les patients consultent un gynécologue à
Varouville ?
Les problèmes de santé les plus courants auquels sont confrontés
les patients chez un gynécologue à Varouville sont :
- Pré-éclampsie
- Dépistage du cancer du col de l'utérus (frottis)
- Douleurs mammaires
- Fibromes utérins
- Problèmes de menstruation
- Suivi post-partum
- Traitement des verrues génitales
- Dépistage du cancer de l'ovaire
- Changements hormonaux
- Saignements anormaux
Quelles sont les questions fréquemment posées à un gynécologue à Varouville ?
Les questions les plus posées à un gynécologue à Varouville sont :
- Comment prévenir le cancer du col de l'utérus ?
- Comment traiter les infections urinaires ?
- Comment traite-t-on la dysplasie cervicale ?
- Comment prévenir les IST ?
- Comment traiter les symptômes de la ménopause ?
- Quels sont les signes d'une grossesse à risque ?
- Comment fonctionnent les méthodes de contraception naturelle ?
- Comment traite-t-on la prééclampsie ?
- Comment prévenir les troubles de la thyroïde liés à la reproduction chez les adolescentes ?
- Comment traite-t-on le SOPK chez les adolescentes ?